Chronique : One Thousand Directions - Minuscule Lives
Première écoute, persuadé que ce groupe vient des USA, je cherche le truc qui va me faire aimer cet album.
J'étais habitué à une certaine perfection de jeu de la part des groupes américains, millimétrique, et je cherchais encore. Motivé pour écrire une chronique sans faire une grosse bourde, je me renseigne et j'apprends que ce groupe vient de Nantes.
L'impression n'est plus la même.
Je le réécoute après avoir rangé cet album dans ma musicothèque un moment, et j'apprécie enfin cette précision de jeu, ce son, de pouvoir entendre chaque instrument, les choeurs, et je ne peux m'empêcher de penser aux Clash en écoutant « Party », track numéro 4.
Le fait d'avoir cru qu'ils étaient américains vient de l'accent du chanteur mi-américain mi-irlandais parfois, sa voix rauque aussi, et que leur musique ne ressemble à aucun groupe français que je connaisse.
J'ai un peu voyagé je dois l'avouer en écoutant « Disguise » et « If it doesn't kill me », tout l'album en fait.. Et ces chœurs qui soulèvent le cœur, je me lèverai presque en écartant les bras pour entonner avec eux les refrains.
Nos vies minuscules rassemblées devant la scène et la foule qui exulte en phase avec le groupe.
Mais nous ne sommes pas en concert, pas encore.
La longueur des morceaux est également une surprise.
Ils ont une énergie de routards rompus semble-t-il aux répétitions et à la scène qui leur permet de faire durer des chansons punk rock, ce qui veut dire évidement virales.
J'ai le sentiment qu'il y a beaucoup de maturité et de travail dans cet album, je dis cela sans connaître vraiment leur histoire, c'est l'impression que me donne chaque morceau.
Je vous promets qu'un jour je pourrai vous en dire plus sur eux, ils ont piqué ma curiosité et si l'occasion m'en est donnée, une petite interview serait un vrai plaisir.
« Lurking Idea » sur un rythme reggae est pour moi, fan de ce genre, un des morceaux qui atterrira dans ma playlist quotidienne.
Voilà, je précise que je n'ai rien contre les groupes américains, ce n'était qu'un malentendu.
Publié par Guillaume
J'étais habitué à une certaine perfection de jeu de la part des groupes américains, millimétrique, et je cherchais encore. Motivé pour écrire une chronique sans faire une grosse bourde, je me renseigne et j'apprends que ce groupe vient de Nantes.
L'impression n'est plus la même.
Je le réécoute après avoir rangé cet album dans ma musicothèque un moment, et j'apprécie enfin cette précision de jeu, ce son, de pouvoir entendre chaque instrument, les choeurs, et je ne peux m'empêcher de penser aux Clash en écoutant « Party », track numéro 4.
Le fait d'avoir cru qu'ils étaient américains vient de l'accent du chanteur mi-américain mi-irlandais parfois, sa voix rauque aussi, et que leur musique ne ressemble à aucun groupe français que je connaisse.
J'ai un peu voyagé je dois l'avouer en écoutant « Disguise » et « If it doesn't kill me », tout l'album en fait.. Et ces chœurs qui soulèvent le cœur, je me lèverai presque en écartant les bras pour entonner avec eux les refrains.
Nos vies minuscules rassemblées devant la scène et la foule qui exulte en phase avec le groupe.
Mais nous ne sommes pas en concert, pas encore.
La longueur des morceaux est également une surprise.
Ils ont une énergie de routards rompus semble-t-il aux répétitions et à la scène qui leur permet de faire durer des chansons punk rock, ce qui veut dire évidement virales.
J'ai le sentiment qu'il y a beaucoup de maturité et de travail dans cet album, je dis cela sans connaître vraiment leur histoire, c'est l'impression que me donne chaque morceau.
Je vous promets qu'un jour je pourrai vous en dire plus sur eux, ils ont piqué ma curiosité et si l'occasion m'en est donnée, une petite interview serait un vrai plaisir.
« Lurking Idea » sur un rythme reggae est pour moi, fan de ce genre, un des morceaux qui atterrira dans ma playlist quotidienne.
Voilà, je précise que je n'ai rien contre les groupes américains, ce n'était qu'un malentendu.
Publié par Guillaume